La Lettre Vétérinaire n°11

POUR QUE L’OTITE NE VIRE PAS AU CAUCHEMAR OU « L’OREILLE, PARFOIS C’EST PAS LE PIED… »

S’il existe bien un symptôme/syndrome responsable à la fois du nomadisme médical de nos patients et d’une frustration de notre part, il s’agit surement de l’otite ou plutôt des otites.

Comme j’ai abordé l’atopie dans un article précédent je vous propose d’étudier le dialogue avec le propriétaire face à une otite en clientèle « généraliste intéressé par la dermatologie ». On se limitera à l’espèce canine.

Je tiens d’abord à remercier P. Prelaud et D. Héripret qui, lors des conférences, petits déjeuners Virbac et dans leurs articles ont à la fois clarifié la démarche diagnostique et étiologique de cette pathologie et établi les bases du traitement. (Ah les « pouet-pouet » de D. Heripret !)

Qui n’a pas été confronté à l’oreille du Cocker qui vous met le cœur au bord des lèvres, à celles du Westie qui présente toutes les nuances de rouge ou à celles du Shar pei : « mais il est où le trou ? »

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