La Lettre Vétérinaire n°21

 VOYAGE EN CAMPAGNE NORMANDE AU DEBUT DU XXEME SIECLE.

Pour changer un peu des cas cliniques classiques je vous propose un voyage dans le temps dans la campagne normande. Pour garder l’authenticité de ce voyage j’ai gardé les tournures de phrase « d’cheux nous ».

Les remèdes employés à l’époque ont presque tous en commun des points importants : leur composition était connue de tous, leur préparation à la portée du pharmacien local et leur prix modique. J’ai conservé les noms latins d’époque pour les parasites.

Si ce texte vous a intéressé ou amusé merci de le faire savoir à Biolog, un 2eme texte similaire relatif aux animaux de rente étant en préparation.

 

Dans les années 1900, l’existence et les soins éventuels du chien et du chat tiennent à leur efficacité ; le chien pour la chasse et la garde, le chat pour détruire la vermine des greniers. Si le paysan devait moralement le gite à son animal, il n’était en revanche pas tenu de le nourrir, le brave animal devant se débrouiller seul. On imagine bien que dans ce contexte les soins vétérinaires étaient restreints à la portion congrue pour des raisons tant culturelles qu’économiques.

Pour lire la suite, téléchargez la lettre vétérinaire.

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